17 août 2010
Avancer, encore, toujours...
Trop de temps
L’eau a coulé
Forcément
Du bon
Du moins
L’irréparable
Pelord s’en est allé
Un mois et demi déjà
J’aimerais arrêter de pleurer
Me souvenir de lui avec joie
Penser qu’il ne souffre plus
Qu’il a retrouvé sa Manette
Mais le manque, le vide, l'absence
Ces compagnons tenaces
Comme des sangsues
Se sont installés
Ad vitam aeternam!
Publicité
Commentaires